L'articulation entre pratiques culturelles et pratiques numériques suivait plutôt une logique de cumul : les adultes les plus engagés dans les pratiques numériques sont aussi les plus engagés dans les pratiques culturelles, et réciproquement ; à cette date, on n’observait pas d’effet démocratisant d’internet, les pratiques numériques étant avant tout le fait des plus dotés en capital culturel.